Par Rostand Tchami
Pour cause, le secrétaire d’Etat de Joe Biden Antony Blinken a estimé jeudi que Washington était engagé dans une vigoureuse compétition avec Pékin dans le but de préserver l’ordre mondial, mais a démenti toute volonté d’entrer dans une nouvelle « guerre froide ».
Sauf que de son côté,
Le pays ne décolère pas depuis 24 heures. La Chine s’est estimée calomniée ce vendredi par le discours du chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, qui a jugé que Pékin posait « le risque le plus sérieux de remise en cause de l’ordre international ». Le but de ce discours était « d’endiguer et de bloquer le développement de la Chine et de maintenir l’hégémonie et la puissance américaines », a estimé un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin. « Son fort mécontentement et sa ferme opposition » Dans un discours très attendu sur la Chine.