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Gouvernance | Cameroun: Le ministre de l’Intérieur dénonce l’action de son collègue de la Santé

Atanga Nji blâme l’usage, par son collègue, d’éléments du maintien de l’ordre pour veiller au respect de l’interdiction de la chicha, dans les lieux de réjouissances populaires.

Par panorama papers
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Par Mon’Esse

Le ministre camerounais en charge de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji, a dénoncé les contrôles effectués par les collaborateurs de son collègue de la Santé publique (Minsante), Manaouda Malachie, dans les débits de boissons, restaurants, casinos et lieux de loisirs, qui «perturbent la quiétude des populations» et sont «susceptibles de provoquer de graves troubles à l’ordre public».
Dans une correspondance datée du 23 septembre et parvenue mercredi à la rédaction, il évoque, sur un ton véhément, «les multiples rappels à l’ordre des autorités administratives», concernant les contrôles inopinés dans les lieux de consommation de la pipe à eau chicha, encore appelée narguilé, interdite dans le pays depuis février 2022.
M. Atanga Nji, qui décrète dès lors leur fin, en veut surtout à son collègue de faire participer, lors de ces contrôles, des éléments de la police.
«Les forces de maintien de l’ordre sont mises pour emploi auprès des autorités administratives. Par conséquent, vos collaborateurs ne peuvent pour quelques raisons que ce soient, mobiliser ou solliciter l’appui des forces de maintien de l’ordre sans l’accord préalable des gouverneurs, préfets et sous-préfets.»
En 2022, pourtant, le même Minat avait adressé aux gouverneurs de région sur une requête du Minsante, demandant l’organisation de la traque contre la chicha en relation avec le Comité national de lutte contre les drogues.
Il convient de noter que la mise au point de Paul Atanga Nji intervient au lendemain d’une descente, dans la boîte de nuit dénommée «Le Famous» à Yaoundé, la capitale, appartenant à l’Israélien Eran Moas, patron du Bataillon d’intervention rapide (Bir), une unité d’élite de l’armée.
Cette nuit-là, rapportent des témoignages concordants, la descente effectuée en présence du Minsante en personne a rencontré une forte résistance d’éléments de ladite unité, affectés à la garde de ces lieux de réjouissances.

Gouvernance

Cameroun : le ministre de l’Intérieur dénonce l’action de son collègue de la Santé

Atanga Nji blâme l’usage, par son collègue, d’éléments du maintien de l’ordre pour veiller au respect de l’interdiction de la chicha, dans les lieux de réjouissances populaires.

Le ministre camerounais en charge de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji, a dénoncé les contrôles effectués par les collaborateurs de son collègue de la Santé publique (Minsante), Manaouda Malachie, dans les débits de boissons, restaurants, casinos et lieux de loisirs, qui «perturbent la quiétude des populations» et sont «susceptibles de provoquer de graves troubles à l’ordre public».
Dans une correspondance datée du 23 septembre et parvenue mercredi à la rédaction, il évoque, sur un ton véhément, «les multiples rappels à l’ordre des autorités administratives», concernant les contrôles inopinés dans les lieux de consommation de la pipe à eau chicha, encore appelée narguilé, interdite dans le pays depuis février 2022.
M. Atanga Nji, qui décrète dès lors leur fin, en veut surtout à son collègue de faire participer, lors de ces contrôles, des éléments de la police.
«Les forces de maintien de l’ordre sont mises pour emploi auprès des autorités administratives. Par conséquent, vos collaborateurs ne peuvent pour quelques raisons que ce soient, mobiliser ou solliciter l’appui des forces de maintien de l’ordre sans l’accord préalable des gouverneurs, préfets et sous-préfets.»
En 2022, pourtant, le même Minat avait adressé aux gouverneurs de région sur une requête du Minsante, demandant l’organisation de la traque contre la chicha en relation avec le Comité national de lutte contre les drogues.
Il convient de noter que la mise au point de Paul Atanga Nji intervient au lendemain d’une descente, dans la boîte de nuit dénommée «Le Famous» à Yaoundé, la capitale, appartenant à l’Israélien Eran Moas, patron du Bataillon d’intervention rapide (Bir), une unité d’élite de l’armée.
Cette nuit-là, rapportent des témoignages concordants, la descente effectuée en présence du Minsante en personne a rencontré une forte résistance d’éléments de ladite unité, affectés à la garde de ces lieux de réjouissances.

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Atanga Nji blâme l’usage, par son collègue, d’éléments du maintien de l’ordre pour veiller au respect de l’interdiction de la chicha, dans les lieux de réjouissances populaires.

Le ministre camerounais en charge de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji, a dénoncé les contrôles effectués par les collaborateurs de son collègue de la Santé publique (Minsante), Manaouda Malachie, dans les débits de boissons, restaurants, casinos et lieux de loisirs, qui «perturbent la quiétude des populations» et sont «susceptibles de provoquer de graves troubles à l’ordre public».
Dans une correspondance datée du 23 septembre et parvenue mercredi à la rédaction, il évoque, sur un ton véhément, «les multiples rappels à l’ordre des autorités administratives», concernant les contrôles inopinés dans les lieux de consommation de la pipe à eau chicha, encore appelée narguilé, interdite dans le pays depuis février 2022.
M. Atanga Nji, qui décrète dès lors leur fin, en veut surtout à son collègue de faire participer, lors de ces contrôles, des éléments de la police.
«Les forces de maintien de l’ordre sont mises pour emploi auprès des autorités administratives. Par conséquent, vos collaborateurs ne peuvent pour quelques raisons que ce soient, mobiliser ou solliciter l’appui des forces de maintien de l’ordre sans l’accord préalable des gouverneurs, préfets et sous-préfets.»
En 2022, pourtant, le même Minat avait adressé aux gouverneurs de région sur une requête du Minsante, demandant l’organisation de la traque contre la chicha en relation avec le Comité national de lutte contre les drogues.
Il convient de noter que la mise au point de Paul Atanga Nji intervient au lendemain d’une descente, dans la boîte de nuit dénommée «Le Famous» à Yaoundé, la capitale, appartenant à l’Israélien Eran Moas, patron du Bataillon d’intervention rapide (Bir), une unité d’élite de l’armée.
Cette nuit-là, rapportent des témoignages concordants, la descente effectuée en présence du Minsante en personne a rencontré une forte résistance d’éléments de ladite unité, affectés à la garde de ces lieux de réjouissances.
Mon’Esse

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Atanga Nji blâme l’usage, par son collègue, d’éléments du maintien de l’ordre pour veiller au respect de l’interdiction de la chicha, dans les lieux de réjouissances populaires.

Le ministre camerounais en charge de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji, a dénoncé les contrôles effectués par les collaborateurs de son collègue de la Santé publique (Minsante), Manaouda Malachie, dans les débits de boissons, restaurants, casinos et lieux de loisirs, qui «perturbent la quiétude des populations» et sont «susceptibles de provoquer de graves troubles à l’ordre public».
Dans une correspondance datée du 23 septembre et parvenue mercredi à la rédaction, il évoque, sur un ton véhément, «les multiples rappels à l’ordre des autorités administratives», concernant les contrôles inopinés dans les lieux de consommation de la pipe à eau chicha, encore appelée narguilé, interdite dans le pays depuis février 2022.
M. Atanga Nji, qui décrète dès lors leur fin, en veut surtout à son collègue de faire participer, lors de ces contrôles, des éléments de la police.
«Les forces de maintien de l’ordre sont mises pour emploi auprès des autorités administratives. Par conséquent, vos collaborateurs ne peuvent pour quelques raisons que ce soient, mobiliser ou solliciter l’appui des forces de maintien de l’ordre sans l’accord préalable des gouverneurs, préfets et sous-préfets.»
En 2022, pourtant, le même Minat avait adressé aux gouverneurs de région sur une requête du Minsante, demandant l’organisation de la traque contre la chicha en relation avec le Comité national de lutte contre les drogues.
Il convient de noter que la mise au point de Paul Atanga Nji intervient au lendemain d’une descente, dans la boîte de nuit dénommée «Le Famous» à Yaoundé, la capitale, appartenant à l’Israélien Eran Moas, patron du Bataillon d’intervention rapide (Bir), une unité d’élite de l’armée.
Cette nuit-là, rapportent des témoignages concordants, la descente effectuée en présence du Minsante en personne a rencontré une forte résistance d’éléments de ladite unité, affectés à la garde de ces lieux de réjouissances.
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Atanga Nji blâme l’usage, par son collègue, d’éléments du maintien de l’ordre pour veiller au respect de l’interdiction de la chicha, dans les lieux de réjouissances populaires.

Le ministre camerounais en charge de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji, a dénoncé les contrôles effectués par les collaborateurs de son collègue de la Santé publique (Minsante), Manaouda Malachie, dans les débits de boissons, restaurants, casinos et lieux de loisirs, qui «perturbent la quiétude des populations» et sont «susceptibles de provoquer de graves troubles à l’ordre public».
Dans une correspondance datée du 23 septembre et parvenue mercredi à la rédaction, il évoque, sur un ton véhément, «les multiples rappels à l’ordre des autorités administratives», concernant les contrôles inopinés dans les lieux de consommation de la pipe à eau chicha, encore appelée narguilé, interdite dans le pays depuis février 2022.
M. Atanga Nji, qui décrète dès lors leur fin, en veut surtout à son collègue de faire participer, lors de ces contrôles, des éléments de la police.
«Les forces de maintien de l’ordre sont mises pour emploi auprès des autorités administratives. Par conséquent, vos collaborateurs ne peuvent pour quelques raisons que ce soient, mobiliser ou solliciter l’appui des forces de maintien de l’ordre sans l’accord préalable des gouverneurs, préfets et sous-préfets.»
En 2022, pourtant, le même Minat avait adressé aux gouverneurs de région sur une requête du Minsante, demandant l’organisation de la traque contre la chicha en relation avec le Comité national de lutte contre les drogues.
Il convient de noter que la mise au point de Paul Atanga Nji intervient au lendemain d’une descente, dans la boîte de nuit dénommée «Le Famous» à Yaoundé, la capitale, appartenant à l’Israélien Eran Moas, patron du Bataillon d’intervention rapide (Bir), une unité d’élite de l’armée.
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