Par Sandra Embollo
Dans le cadre de l’affaire juridique engagée par l’équipementier Coq Sportif contre la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), le tribunal judiciaire de Paris, dans une procédure en référée ordonne « le maintien des relations contractuelles entre la société Lcs international et la Fédération camerounaise de football ».
Il condamne par ailleurs la Fecafoot à verser 3000 euros à Coq Sportif. Ainsi Le Coq Sportif demeure l’équipementier des lions indomptables et est l’équipementier qui devrait aller au mondial avec les lions indomptables à la coupe du monde.
Cette décision du tribunal judiciaire de Paris agite les Camerounais sur la toile.
« Rien en réalité dans cette affaire rien ne peut amener le juge camerounais à s’opposer à l’exécution de cette décision. »
écrit Patrick Duprix Anicet Mani, un militant Rdpc.
Pour l’avocat Hippolyte Meli Tiakouang, cette décision vient troubler la quiétude de la Fédération :
« Un petit juge des référés parisien trouble la tranquillité et le repos de la Fecafoot »
réagit-il.
« Samuel Eto’o reste et demeure Samuel Eto’o. Je suis actuellement au calme avec mon allié et nous lisons vos commentaires. », affirme pour sa part le Dr Jean Crépin Nyamsi.
Selon l’activiste politique, Kand Levant cette décision est un revers pour le président de la Fecafoot : « Les bras longs de jour comme de nuit ». « Il y a une décision de justice du tribunal de Paris qui circule », écrit le journaliste Benjamin Zebaze. « Heureusement que c’est le tribunal de Paris et non le Tas. », pense Josué Fewou Ndam.