Par Sandra Embollo
Sur un Tweet, l’avocat estime que la terre du Cameroun commence à perdre son humanité :
« Très horrifié par l’enlèvement et assassinat du journaliste Martinez Zogo, L’intégrité dans notre pays a disparu. L’impunité est la règle. Cette terre perd son âme. La pratique de déshumanisation qui a commencé dans le Nw et Sw est maintenant un modus vivendi. Que Dieu nous aide ».
écrit -il sur Twitter.
Dans un second tweet, Il fait une comparaison avec l’affaire Norbert Zongo, le journaliste burkinabè qui avait été assassiné. En plein milieu d’après-midi, le 13 décembre 1998, un véhicule enflammé avait été retrouvé sur la route nationale 6, près de Sapouy, dans le sud du Burkina Faso. Une macabre découverte qui va secouer le pays jusqu’à son sommet.
« Au Burkina Faso, c’était Norbert Zongo et ça a secoué ce pays. Au Cameroun c’était le journaliste de télévision Samuel Wazizi, puis maintenant Martinez Zogo, je retiens mon souffle ».
a tweeté Me Akere Muna.