Par Mon’Esse
L’opérateur d’électricité Globeleq a, par voie de communiqué, réfuté l’idée que lui prêtent certains via médias de vouloir vendre ses actifs et quitter le Cameroun. Il affirme, dans ce document parvenu mardi à la rédaction, qu’il n’en est rien en dépit d’un contexte marqué par une dette de plus de 100 milliards de francs que lui doit Energy of Cameroon (Eneo), mais aussi du risque accru que représente la mise en service progressive de la centrale hydroélectrique de Nachtigal.
Propriétaire de la centrale à gaz de Kribi (Sud) et de celle à fioul lourd de la Dibamba (Littoral), ce producteur indépendant d’électricité d’origine britannique affirme qu’il n’est pas dans un processus de vente desdites infrastructures.
Malgré les lourds arriérés réclamés à Eneo, Globeleq indique continuer à faire confiance aux autorités du pays «pour réduire cette dette, dès que possible», comme ils l’ont fait par le passé.