Par Gabrielle Mekoui
En effet, les faits se sont dérouler à Buea ( chef-lieu de la région du Sud-ouest), dans la journée du 8 juin 2022. Les trois femmes (la concubine et les deux sœurs du concubin) avaient bien ficelé leur coup. Elles ont organisé un rdv fallacieux et leur victime est tombée dans ce guet à pan. Elles vont passer à l’acte. La victime sera battue, déshabillée avant de subir le repassage de certaines parties de son corps. Enfin, elles vont imbiber ses parties intimes avec du piment. Le tout en la filmant pendant qu’elles commettaient leur forfait avec son propre téléphone dont elles se chargeront d’envoyer via WhatsApp, les images à tous les contacts de cette dernière.
La victime ira porter plainte, c est ainsi que les trois femmes mises en cause seront interpellées par les éléments de la police à Buea. L’une d’elle est mère d’un nourrisson qui est sous alimentation maternelle. Mais le nourrisson a été remis à son père. Ce dernier s’est désolidarisee des actes de torture commis par sa concubine. (elle soupçonnait la victime d’entretenir une relation amoureuse avec son concubin et elle a donc fait appel à ses copines)