Par René Mbarga
L’ex bailleresse de Marlène Emvoutou était censée déférer à une convocation, des fins limiers du groupement territorial de gendarmerie du Mfoundi ce mardi 2 mai 2023; elle ne s’y est pas rendue. Il y a une dizaine de jours, foulant aux pieds, les recommandations d’une ordonnance rendue par le juge Gilbert Schlick de la cour d’appel du centre ; cette propriétaire d’une somptueuse villa sise au quartier Odza où vivait Marlène Emvoutou ; avait entrepris de faire molester la concernée par des gros bras; avant de jeter ses effets personnels sur la voie publique , tout en diffusant les images y afférentes sur les réseaux sociaux.
25 mois d’arriérés de loyers…
Peu après cet incident, dans un démenti publié sur la toile, Marlène Emvoutou avait balayé du revers de la main l’argumentaire des vingt-cinq mois arriérés de loyers ; en affirmant mordicus que sa bailleresse ne lui devait le moindre centime. L’ex candidate malheureuse à la présidence de la Fecafoot mettait d’ailleurs en avant, une ordonnance rendue par le juge Gilbert Schlick de la cour d’appel du centre, qui déboutait sans aucune forme de procès, dame Afane Francine. Selon nos informations, la requête aux fins d’expulsion de la fille de l’ex Dg de la Crtv n’avait pas produit l’effet escompté, faute de non enregistrement du contrat de bail auprès de l’administration fiscale. C’est donc Blessée dans son amour propre et en désespoir de cause que, cette bailleresse visiblement abusée, avait eu recours à quelques gros bras, pour expulser sa locataire de corps et de biens.
