Par Joseph OLINGA N.
A priori, le communiqué émanant du secrétariat général de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) évoque pour illustration “des erreurs d’arbitrage manifestes” qui ont émaillées la rencontre Bresil-Cameroun du 11 septembre à Bogota (Colombie). Fautes d’arbitrage ayant conduit au but d’égalisation de la sélection des U20 féminin du Brésil.
A contrario, souligne la même correspondance, au cours de la rencontre opposant le Cameroun à la Colombie, “un penalty évident a été curieusement refusé à la sélection camerounaise.”
Pour mieux expliciter la sanction prise à l’encontre du président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Samuel Eto’o Fils, l’instance faîtière du football camerounais explique que “A l’issue de la rencontre Bresil-Cameroun, le président de la Fecafoot présent au stade, a simplement attiré l’attention des officiels sur ces erreurs qui ont faussé de façon regrettable pour le Cameroun, les résultats des deux matchs.”
In fine, la Fédération camerounaise de football tient a exprimer son étonnement et sa désapprobation face à ces écarts constatés dans l’arbitrage.
Au sujet de la sanction prononcée par la Fédération internationale de football (Fifa), le 20 septembre 2024, la Fecafoot indique qu’il s’agit d’une “sanction injuste, assise sur l’interprétation biaisée et arbitraire du comportement de son président Eto’o Fils Samuel.” Sanction qui, dixit la Fecafoot, “n’est pas de nature à entraver l’exercice de ses multiples activités à la tête de la Fecafoot.”