Par René Mbarga
Le système électoral camerounais a alimenté plusieurs controverses ces dernières décennies. Accusé d’être juge et partie, l’omniprésence de l’exécutif dans le processus, a de tout temps donné lieu, à des contestations. C’est ce que tente de conjurer les deux pôles de la dynamique commune autour de la problématique de réforme participative et consensuelle dont; l’honorable Tomaïano Ndam Njoya de l’union des démocrates du Cameroun et Philippe Nanga de un monde à venir ; sont les porte-drapeaux.
Mp, Pcrn,Sdf, Udc,Ums et tutti quanti…
Dans un communiqué conjoint publié mardi à Yaoundé, la plateforme des partis politiques et le groupe de travail de la société civile ont décidé de se mettre ensemble, dans le cadre d’une synergie d’actions républicaines et citoyennes; de s’ouvrir aux autres acteurs intéressés de la vie publique nationale ; notamment les médias, les acteurs de la société civile, les autorités religieuses, traditionnels et la diaspora.
Pour rappel, les partis politiques membres de ce bloc, à l’instar du mouvement progressiste, de l’union des démocrates du Cameroun ; du Mouvement pour la renaissance du Cameroun et le groupe de travail où trônent en bonne place un monde à venir et le Redhac futur Afrique; figurent parmi les plus représentatifs en activité dans le pays.