Par René Mbarga
C’est la femme d’église Chantal Yologaza qui avait en premier tiré à boulets rouges sur Parfait Ayissi. Accusé de s’être réjoui de la déchéance de son ancien patron ; elle a rappelé à l’ex présentateur de tour d’horizon qu’on ne donne pas des coups de poings à quelqu’un lorsqu’il est par terre. Cette allusion tient au fait que vingt-quatre heures après son arrestation, le journaliste drapé dans un beau smoking bordeau avait affirmé sur espace miné à Info Tv que :
“ceux que vous avez humilié pendant votre ascension sont les mêmes que vous retrouverez au moment de votre chute”.
Propriétaire d’une église de réveil au quartier Elig- Essono à Yaounde, Chantal Yologaza avait immédiatement remonté les bretelles au mis en cause:
“Parfait Ayissi tu ne peux pas injurier Amougou Belinga en portant sa veste au corps”.
Elle a par conséquent révélé que le journaliste avait reçu une dizaine de millions de francs Cfa de son ex patron ; comme prime de séparation.
Fouda Abega
Libéré il y a quelques jours, le chroniqueur de café sports sur Radio France International révèle que Jean Claude Fouda Abega serait sur le point de constituer un gang, pour éliminer physiquement Parfait Ayissi Etoa. Le pape des dossiers noirs du samedi soir, demande donc ainsi ouvertement aux services de sécurité du Cameroun de prendre des mesures conservatoires pour le protéger. Avant l’assassinat de l’ex chef de chaîne de Amplitude Fm, en Janvier dernier, J. Rémy Ngono avait plus d’une fois lancé des alertes. Celles-ci étaient malheureusement restées lettres mortes.