Par Joël Onana
Le consultant pour Rfi, avec cette élimination en huitième de finale, il va être difficile pour l’Algérie d’essayer de se trouver des excuses, sans se regarder dans la glace.
« Je pense que ce qui arrive souvent en Afrique, c’est que nous avons du mal à accepter d’analyser pourquoi nous réussissons et encore plus pourquoi nous échouons. Je ne suis pas sûr que les Algériens se sont d’abord remis de l’échec au Cameroun (2021) qu’ils aient trouvé les bonnes raisons, ensuite de l’échec face au Cameroun (en 2022, Coupe du monde). Donc fatalement, si vous n’aviez pas compris tout cela, il est probable que vous n’ayez rien changé à ce qui n’a pas marché. Là, il va leur être difficile de continuer à penser que c’est le vent ou le soleil, ou la terre d’Afrique qui ne les aiment pas ».
a analysé Joseph Antoine Bell sur Rfi.
« Il était tant qu’il (Djamel Belmadi) assume quelque chose. S’il avait assumé, il se serait regardé et il aurait compris ce qui n’a pas marché pour le rectifier. Quand on a été champion d’Afrique avec la manière il l’a été, ça veut dire qu’on a de la qualité. Le joueur où vous perdez, vous ne pouvez pas faire comme si il ne s’était rien passé et que c’était simplement la faute du gazon, la faute des vestiaires ou la faute de la toiture du stade ».
a ajouté Joseph Antoine Bell.
L’Algérie a été sortie de la compétition après sa défaite 1-0 face aux Mourabitounes de la Mauritanie.