Avec Nana Paul Sabin (Équinoxe)
Au contraire, il aurait même apaisé les Lionnes indomptables, en colère contre l’arbitre, selon les membres de la délégation interrogés par Équinoxe Télévision et Radio.
Cependant, des responsables de la délégation camerounaise font savoir que Samuel Eto’o fils avait exprimé depuis les tribunes, son désaccord face à l’arbitrage jugé défavorable de l’italienne Caputi Ferrieri directrice du match des 8e de finale perdu 1-3 par le Cameroun contre Brésil.
La sanction infligée à Samuel Eto’o par la Fifa serait donc consécutive à ses gestes de désapprobation en tribune.
La commission de discipline de la Fifa précise que le président de la Fecafoot a enfreint deux articles clés du code disciplinaire, précisément l’article 13 et l’article 14.
De manière détaillée,
L’article 13, sanctionne les comportements offensants et les violations des principes du fair-play.
Par exemple, quiconque commet l’infraction aux règles de base de la décence, Insulte de quelque manière que ce soit, notamment par des gestes, signes ou propos offensants ou affiche un comportement portant atteinte à l’image du football ou de la Fifa.
L’article 14, qui réprime les comportements incorrects lors des matchs, détermine la durée de la suspension en fonction de la gravite de l’infraction commise.
La Fifa souligne que ces deux articles visent à maintenir l’intégrité et la sportivité dans le football mondial.
Conséquence directe de sa sanction, Samuel Eto’o ne sera pas présent au match Cameroun-Kenya le 11 octobre à Douala…