Par Yves Claude Junior Ngangué
Enseignant de Sciences Politiques, Directeur du Centre de Recherches Études Politiques et Stratégiques (CREPS) de l’Université de Yaoundé II-Soa, et Directeur de l’Institut des Sciences Sociales, la Gouvernance, et les Sciences Humaines (PAUGHSS) de l’Université Panafricaine, cet universitaire qu’on ne présente plus, était ce lundi 15 Août, l’invité de notre confrère Achille Zam au journal de 17 heures sur le Poste national de la CRTV.
S’exprimant sur le sort qui devrait être réservé, à ces fraudeurs, l’enseignant de sciences politiques est formel :
“Ces gens représentent une véritable menace en termes de sécurité communautaire, en termes de sécurité prospective”.
S’il propose au gouvernement de les reverser au service civique du développement participatif rattaché au Ministère de la Jeunesse, le géostratége argumente qu’il est temps d’ implémenter des réformes qui puissent crédibiliser le système; les parents étant eux mêmes les premiers à chercher des faux diplômes pour leur progéniture.
En marquant son grand étonnement, sur un détail important de ce feuilleton qui meuble la chronique mondaine en ce moment:
“On arrive pas à comprendre que pour un seul concours, on a pu se retrouver avec autant de faux diplômes”,
pourquoi n’a t’on pas vérifié avant ? Joseph Vincent Ntuda Ebode tire un coup de chapeau au Ministre de la défense Joseph Beti Assomo, car dit-il
“on ne peut pas intégrer dans le corps des individus dont on est convaincu qu’ils ont fraudé”.