Par Joël Onana
Enlever les gravats, rebâtir les immeubles, réparer des infrastructures endommagées par des frappes russes massives. Préparer l’après-guerre, c’est un défi colossal qui attend Kiev et sa région.
Et les attentes que nourrissent les autorités de la capitale ukrainienne sont énormes. Mais il faudra les aider aussi à mettre en place des services numériques et des solutions technologiques plus modernes. Trois mots-clés sont donc au menu des discussions qui se tiennent à Bruxelles ce lundi : résilience, innovation et durabilité.
Afin de poursuivre cette tâche difficile, il faut aussi beaucoup d’argent. Des représentants des secteurs publics et privés participeront aux tables rondes. Ils auront le soutien des institutions financières internationales et d’investisseurs privés, également présents dans la capitale européenne. « Nous devons préparer l’avenir », a déclaré Vitali Klitschko avant son arrivée dans la capitale belge.
La course contre-la-montre a en effet commencé à Kiev. Alors que la neige et les coupures d’électricité perturbent lourdement la vie de ses habitants. Dans la capitale, les habitants n’ont le droit qu’à 4h de courant par jour.