Par Julie Peh
L’aéroport international de La Tontouta est resté fermé depuis le 14 mai, et tous les vols commerciaux ont été annulés depuis. Les touristes ont décollé à bord d’appareils militaires vers l’Australie et la Nouvelle-Zélande, depuis l’aérodrome de Magenta à Nouméa, a a constaté une journaliste de l’Afp.Ils devront ensuite prendre un vol commercial vers la France métropolitaine.
Les mesures de raccompagnement des étrangers et des touristes français se poursuivent”, a indiqué le représentant de l’Etat central, dans un communiqué. C’est la première fois que le représentant de l’Etat français dans cet archipel du Pacifique Sud évoquait le sort de ces touristes.
L’aéroport international de La Tontouta reste fermé depuis le 14 mai, et tous les vols commerciaux ont été annulés depuis. Les touristes ont décollé à bord d’appareils militaires vers l’Australie et la Nouvelle-Zélande, depuis l’aérodrome de Magenta à Nouméa, a constaté une journaliste de l’AFP. Ils devront ensuite prendre un vol commercial vers la France métropolitaine.
L’Australie et la Nouvelle-Zélande avaient commencé mardi à pouvoir rapatrier leurs ressortissants de la même manière. Vendredi, ceux du Vanuatu ont quitté la Nouvelle-Calédonie à bord d’appareils militaires français. La situation se débloque petit à petit pour les nombreuses personnes prises au piège dans l’archipel français du Pacifique Sud, secoué par des émeutes depuis le 13 mai.
Vendredi, le procureur de Nouméa Yves Dupas a annoncé qu’un homme de 48 ans avait été tué par un policier. Alors qu’ils circulaient à Dumbéa, au nord de Nouméa, deux policiers ont été “pris à partie physiquement par un groupe d’une quinzaine d’individus” et l’un d’eux a fait usage de son arme de service “pour s’extraire de cette altercation physique”, a-t-il expliqué. L’homme abattu est la septième victime recensée depuis le début des troubles.