Message du PDC2.0
La vulgarité et la petitesse sont caractéristiques des individus sans aucune autre substance intrinsèque. Chez un filou pur sang, c’est sa façon d’essayer de masquer son complexe, ses lacunes et son esbroufe.
Ce “ministre” cas d’école Cameroun se comporte comme le vulgaire bandit, qui ne veut pas lui quitter le corps. Il ne peut donc s’empêcher de courir dès qu’il voit la police même s’il est habillé en costume de ministre, veste et cravate…
Qui plus est lorsqu’il se sait en situation d’indélicatesse avec la loi, et que tout changement à la tête de l’Etat sonnera le glas du club de larbins et voleurs de la République…
L’ordre régnant dans ce pays sait et a conscience de son imposture qui ne peut plus résister face à l’usure.
D’où la propension du langage ordurier de la force, l’ensauvagement et de la violence. Question de masquer en réalité le déficit de légitimité et l’impopularité.
Il faut dès lors leur opposer à tous, également le même langage de dureté, à une proportion au degré supérieur en leur disant clairement que ça ne va plus passer. Parce que personne ne va se laisser faire à nouveau cette fois-ci: la fois de trop.
Ils sont près à mettre le pays à feu et à sang.
Il faut s’y préparer pour cela, en tant que peuple désabusé ayant épuisé tout son stock de patience et de tolérance patriotique.
Voilà le message de ces messieurs auquel nous allons répondra. Il faut prendre cela avec toute la gravité et le sérieux qui correspondent !
Et la presse aura une cruciale responsabilité: le devoir de contribuer, en refusant de banaliser cette propagande apologique de la violence verbale d’État
et la traiter avec toute la gravité que cela impose.
Voilà un institutionnel qui se croit tout permis. Il peut se torcher le postérieur avec les lois de la république comme s’il s’agissait des loisirs d’usage à sa guise.
La loi du 19 décembre 1990 sur la légalisation des partis politiques et autres associations, qui astreint l’administration à des délais; faute de quoi lesdites organisations sont d’office considérées comme existant légalement; avec toutes les conséquences de droit…
Mais monsieur croit dur comme fer qu’il est le dispensateur de grâces de légitimité et que c’est sa liste périodique publiée selon son calendrier et ses humeurs domestiques qui octroie à ces partis leur existence légale.
On se demande bien à quoi servent tous ces conseillers, administrareurs civils réputés pourtant très brillants?
J’oubliais que le moule appelé Enam forme des administrateurs de néocolonies…
Monsieur devrait peut-être commencer par porter le pantalon chez lui et rembourser l’argent des épargnants volé par lui lorsqu’il a ouvert son escroquerie au centre commercial du Hilton de Yaoundé il y a quelques années. Et ce serait un très bon début en attendant que le Tribunal criminel spécial(Tcs) fasse son travail sur Covid 19 gate, la poste, la caisse de solidarité pour le NOSO ou les sacs d’argent du financement des partis politiques pour les différents scrutins organisés depuis qu’il est en poste par effraction…