Par René Mbarga
Les nouvelles autorités de Ouagadougou veulent abroger purement et simplement, la convention fiscale de non imposition signée le 11 Août 1965, entre le Burkina Faso et la France. En Janvier 2020, la France avait déjà opposé une fin de non recevoir, au Burkina Faso en refusant formellement de renégocier ladite convention.
Le jeune capitaine avait donc voulu de commun accord avec son ancien colonisateur, sans toute fois l’écarter complètement, voir plus clair dans les accords coloniaux “qui seraient à 90% responsable du sous développement de l’Afrique francophone en général et du Burkina Faso en particulier.
Ce n’est un secret pour personne que la réforme de ces accords et la coorperation avec Paris de manière globale, est la principale pomme de discorde entre entre la France et ses anciennes colonies et surtout le principal motif de ce qu’on peut présenter comme le printemps ouest africain. Ce mouvement qui a “dégagé” systématiquement tous les chefs d’État pro-occidentaux par des coups d’Etat. Et certaines langues n’annoncent pas la fin pour bientôt.