Par Serge Aimé Bikoi
Elles sont en exploitation dans cette brigade de gendarmerie, mais pour l’instant, ces dernières persistent et signent qu’elles ne peuvent parler que si la chef de la bande, Rachelle, est interpellée et présente lors de l’interrogatoire. Pour l’instant, la famille ne sait où se trouve leur fille molestée et torturée et la cheffe de la bande est toujours en cavale.
Rappelons que quatre jeunes filles de Douala ont, pendant des heures, roué de coups M.T. Ngo Lingock. Dans une vidéo très choquante devenue virale sur la toile, montrant un groupe de filles en train de séquestrer une fille qui, selon certaines sources concordantes, entretiendrait des relations amoureuses avec le copain de l’une des filles de cette bande. Selon toute vraisemblance, la victime a été contactée par la copine de ce dernier qui s’était fait passer pour l’amant en question lui donnant ainsi rendez vous à son domicile. Mais arrivée sur place, elle va constater, malencontreusement, que c’était un guet-apen. Déshabillée, bastonnée, cheveux coupés, pour ensuite se voir aspergée d’un liquide inflammable qui va l’enliser dans une souffrance inouïe. Pour l’instant, l’on ne sait où se trouve la victime 48 heures après la découverte de cette vidéo offusquante.