Par Joël Onana
Pedro Miguel Pauleta admet lui-même qu’il s’agit du «plus beau but de [sa] carrière». En avril 2004, le PSG affronte l’OM lors de la phase retour de la Ligue 1. Les Parisiens l’emportent 2-1 grâce à une merveille de l’attaquant portugais qui, lancé en profondeur, a évité la sortie de Fabien Barthez en s’excentrant sur le côté de la surface, avant de réussir un amour de lob. «En plus, pendant un Classique. En plus, avec Fabien Barthez dans le but. C’était un but très difficile à mettre.»
Mercredi, à l’occasion d’un rencontre de Süper Lig, le championnat de Turquie, Vincent Aboubakar a inscrit un but similaire. Le Camerounais a intercepté une relance du gardien d’Adana Demirspor avant de résister à la pression dans la surface et de lober la défense d’une jolie frappe enroulée. Il n’a pu toutefois éviter la défaite de Besiktas (1-2).
