Par René Mbarga
Le gouvernement camerounais a brillé par une mauvaise manifeste, au cours de son exposé sur la situation qui prévaut dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Dans une déclaration commune, publiée après le passage des autorités camerounaises, devant le groupe de travail, du conseil des droits de l’homme des nations unies à Genève en Suisse le mardi 14 novembre 2023 ; les organisation de la société civile déplore les contrevérités selon lesquelles ; primo on assisterait à une normalisation de la situation dans les régions sinistrées. Secundo, la persistance de la terreur serait le seul fait, des bandes armées non étatiques, qualifiées à l’occasion de “terroristes”.
Arrestations arbitraires, exécutions extrajudiciaires et cetera …
À contrario, en dehors de la situation qui est loin de se normaliser dans les régions du Noso, à cause des exactions perpétrées sur les populations civiles; ces organisations ont dans leur sortie, reconnu avoir formellement documenté de nombreuses violations graves des droits de l’homme, telles que : les arrestations arbitraires, des exécutions extrajudiciaires, des tortures et d’autres abus qui peuvent être mis à l’actif des forces de défense et de sécurité et autres. S’agissant de la responsabilité des séparatistes sur la persistance de la terreur ; ces organisations émettent un bémol, au motif que le gouvernement n’en ferait pas assez, en invitant toutes les factions du séparatisme armé, autour de la table.
Pour rappel, depuis le déclenchement de la crise anglophone, le gouvernement camerounais était ainsi entendu pour la quatrième fois, devant ce groupe de travail, dans le cadre de l’examen périodique universel (Epu), du conseil des droits de l’homme des nations unies (Cdh).