Par René Mbarga
Plus de 90% de l’opinion internationale est viscéralement opposées à toute éventuelle intervention militaire, des forces de la communauté économique et de développement des États de l’Afrique de l’ouest (Cedeao).
Après la réunion des chefs d’État major de l’organe, au quartier général de l’armée ghanéenne à Accra il y a une dizaine de jours ; le plan d’une éventuelle intervention militaire au Niger, avait été arrêté. Néanmoins, la date du déploiement des troupes, avait été subordonnée au quitus des chefs d’État de la sous-région.
Rejetée par le sénat nigerian, les États-Unis et l’Union africaine; l’option d’une éventuelle intervention militaire, des troupes de la Cedeao au Niger, apparaît de plus en plus anecdotique.
Pire, tous pensent que ce sera une attaque de l’Otan déguisé en Cedeao et biensur appuyé par des éléments de l’organisation du traité de l’atlantique nord. Et plus particulièrement, la France.