Par Ilyass Chirac Poumie
Une prophétie politique s’élève : la troisième couleur du drapeau camerounais, le jaune solaire, porterait le signe du futur chef d’État, troisième président de la 7République.
Le vert a ouvert l’ère de la promesse, celle de la germination et des forêts profondes. Le rouge a marqué le chemin du sang, du sacrifice et de l’unité scellée par la douleur. Désormais, s’avance le jaune, éclat du soleil levant, lumière promise à un peuple en marche. Ce jaune, couleur de révélation et d’accomplissement, porterait sur le bulletin de vote le signe du troisième président, celui qui conduira la nation vers un nouveau pacte d’Alliance.
Le Cameroun tout entier retient son souffle devant un mystère symbolique. La troisième couleur du drapeau national, le jaune, éclat lumineux du soleil, est désormais perçue comme plus qu’un simple ornement républicain. Dans les cercles de la sagesse, elle est interprétée comme l’empreinte divine d’une destinée: le bulletin de vote de cette couleur consacrera l’élu, le troisième président qui conduira la nation vers une nouvelle ère.
Il est dit qu’après le temps des pères viendra le temps du fils. Le Cameroun, terre d’épreuves et d’espérance, a porté deux guides depuis son indépendance. Mais voici que surgit une parole qui court de bouche en bouche, de maison en maison: la troisième couleur du drapeau, le jaune éclatant, ne serait point hasard, mais prophétie.
Pour certains, il ne s’agit pas d’une coïncidence mais d’un signe céleste. Après le vert de l’espérance et le rouge du sacrifice, viendrait le temps du jaune, symbole de lumière et de révélation. Dans ce fil mystique, le Cameroun passerait de l’ombre de l’incertitude à l’éclat d’une renaissance, guidé par celui dont le destin se confond avec cette couleur prophétique.
Le drapeau camerounais, adopté le 20 mai 1975, porte trois bandes verticales : vert, rouge et jaune, avec une étoile dorée au centre. Ces couleurs sont des symboles fondateurs : le vert pour la nature et l’espérance, le rouge pour l’unité et le sacrifice, le jaune pour la prospérité et le soleil.
Depuis 1960, le pays n’a connu que deux présidents : Ahmadou Ahidjo et Paul Biya. Alors que l’élection présidentielle de 2025 s’annonce comme un tournant majeur, certains voient dans ce code des couleurs un langage sacré annonçant l’avènement du troisième chef d’État.
