Par Joël Onana avec Jean Robert Wafo
Comment comprendre que des personnes accusées de telles vilenies touchant même à la vie humaine soient encore maintenues en fonction? On peut se ce fait comprendre l’agitation de ces personnes dont l’une d’elles n’avait pas hésité à déclarer urbi et orbi qu’il n’y a pas de problème anglophone au Cameroun. On constate avec regret qu’à force de vouloir trouver dans ces agitations stériles une bouée de sauvetage M. Paul Atanga Nji et ses sicaires du régime risquent de mettre ce pays à feu et à sang.
Heureusement que dans cette médiocrité gouvernementale ambiante, le porte-parole du gouvernement M. René Emmanuel Sadi a su trouver des mots de tempérance et de pondération qui, on espère, suffiront à faire taire ces agitateurs et autres rossignols.
Au demeurant il y a lieu de rappeler que les évêques, en tant que Hommes de Dieu, sont mieux placés que M. Atanga Nji pour ressentir la douleur du peuple dont la souffrance va grandissante en cette 42 ème année de magistère de M. Biya.
Vivement que le peuple s’inscrive massivement sur les listes électorales pour prendre son destin en main à la prochaine présidentielle de 2025