Par Arlette Akoumou Nga
Ces derniers experts en justice pénale, de droit public, d’immigration, d’emploi, de droits de l’homme et de libertés civiles entendent tout faire pour obtenir la libération de ceux-là qui ont conduit le Gabon à la ruine, poussant des Gabonais à la mendicité dans leur propre pays.
La famille Ali Bongo Ondimba devrait également savoir que des plaintes sont en cours pour des actes commis dans l’exercice de ses fonctions pendant 14 ans, la torture qu’il a fait subir aux prisonniers politiques à l’exemple de Bertrand Zibi Abeghe, Jean Remy Yama. D’autres le seront également à l’endroit de sa femme et son fils Nourredin Bongo Valentin dans le cadre de l’association des malfaiteurs, détournement de deniers publics et autres. Le Gabon ne se laissera pas faire et les Gabonais n’accepteront plus cette forme d’injustice.
Sylvia Bongo Ondimba doit répondre de ces chefs d’accusation commis au Gabon et non en France. Ce n’est pas parce qu’on a la double nationalité que l’on peut se permettre de commettre des forfaits et prétendre une extradition en France pour fuir la justice gabonaise, sur le simple fait qu’on possède une double nationalité gabonaise et Française, vraiment trop facile.
Ali Bongo Ondimba, qui était en résidence surveillée en demandant à ses amis de « faire du bruit, beaucoup de bruit pour lui », est libre de ses mouvements depuis le 6 septembre 2023 et curieusement lui-même n’arrive plus à faire du bruit pour sa femme et son fils mis en cause dans une affaire de détournement de deniers publics.
Ali Bongo Ondimba a bien accepté de mettre en prison en 2019 ses anciens proches pourquoi Nourredin Bongo Valentin incarcérer à la prison centrale de Libreville avec de nombreux collaborateurs de son père depuis le 22 septembre 2023 et que l’ex première dame Sylvia Bongo Ondimba est en résidence surveillée accompagnée de Jalil Bongo Valentin et ses petits-enfants ne doivent pas subir le même sort.