Cameroun | Cabale: L’homme d’affaires Ismaël Njoya dans la ligne de mire des “hiboux”

Par René Mbarga

L’interpellation de l’homme d’affaires Ismaël Njoya dimanche à l’aéroport international de Douala, dans le cadre de l’affaire dite du suicide du vice-consul de France est le prolongement d’une guerre fratricide qui tirent ses racines dans son Noun natal.

Il est en effet dans le viseur des vendeurs d’objets d’art, pour avoir échoué où il a réussit. Ces derniers lui vouent une haine viscérale ainsi que les partisans d’un certain parti politique ayant pour projet de société la chutte du sultanat Bamoun. Mais surtout et surtout, l’homme d’affaires est accusé de financer le parti de Paul Biya, le Rdpc, à coups de millions de Fcfa. Ces ennemis de l’ombre rivalisent d’adresse pour faire trébucher le patron de VALTECH energy et La société camerounaise d’intermediation et de negoce (SCIN).

Les Fake news publiées à longueur de journée par des lanceurs d’alerte et autres sites d’informations en ligne, commis pour la sale besogne procèdent d’une bataille de l’information qui vise d’abord et avant tout, à discréditer Ismaël Njoya. En dénaturant un article publié sur le sujet par notre confrère Jeune Afrique, en fin Août ; cameroon web s’est retrouvé en train de proposer un autre papier à charge ; faisant état de l’exploitation du téléphone du diplomate voire des extraits de conversations corroborant la thèse d’un chantage en règle.

“Oubliant par ce fait, qu’en l’absence d’une plainte dûment formulée contre Ismaël Njoya du vivant du vice-consul défunt, aucune inculpation n’est possible ; compte tenu du caractère indirect des preuves récoltées,”

a confirmé un pénaliste sous anonymat, aux fins limiers de Panorama Papers.

Ses entrées au palais royal…

Ismaël Njoya est réputé proche du sultan roi des Bamoun Nabil Mforifoum Mbombo Njoya. Cette proximité aussi lui vaut jalousies et chausse-trappes émanant de son département d’origine où les cabinets noirs travaillent à sa perte.

Chef d’entreprise prospère, beaucoup de “frères” du Ceo voient d’un mauvais œil ses prouesses; et s’affairent ainsi à saborder ses multiples réalisations dans les villes de Douala et Kribi.

Une fausse histoire

Il n’est pourtant mêlé de près ni de loin, dans l’affaire dite du suicide de Christian Marie Hue, vice-consul de France qu’il ne connaissait ni d’Adam ni d’Eve.

L’interpellation de Ismaël Njoya de façon spectaculaire par les forces de l’ordre, sur la base de simples allégations mensongères est la preuve ultime que cet homme d’affaires est victime d’une injustice digne du procès de Francz Kafka.

La publication minute by minute des procès verbaux erronés de son audition par des activistes des réseaux sociaux ; démontre à suffisance qu’il existe des complicités internes au sein de la justice dans cette cabale de hiboux et de rapaces en mal de corruption contre un petit poussin, qui ne cherche qu’à grandir et à faire vivre les camerounais en diminuant le chômage chez les jeunes qu’il emploi par centaines.

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