Par Ilyass Chirac Poumie
Selon la préfecture, ces établissements ne disposeraient pas de l’autorisation légale de fonctionner. Conséquence immédiate : des centaines d’élèves se sont retrouvés dans la rue, sans solution de rechange, alors que l’année scolaire venait tout juste de débuter.
Cette décision met en lumière la question sensible de la régulation du secteur éducatif privé, qui attire de plus en plus d’élèves mais dont certains acteurs fonctionnent dans l’illégalité. Elle soulève aussi des inquiétudes pour les familles, contraintes de trouver en urgence d’autres établissements pour leurs enfants, au risque de retards scolaires.
