Par Joseph OLINGA N.
“Je déclare ma candidature à l’élection présidentielle de 2025 au Cameroun.” Annonce faite le 28 avril par le président du parti Jouvence. Une candidature indique l’ancien adjoint préfectoral du département du Diamare, dictée par la promiscuité de l’ambiance et des nuisances politiques, des étiquettes dégradant accolées à des leaders politiques dans le but de leur disqualication, l’infiltration, la partition et l’éclatement des partis politiques concurrents de l’opposition.
Le candidat qui place la jeunesse au centre de son projet politique est néanmoins confronté aux dispositions de la loi électorale qui indique que les candidats à l’élection présidentielle doivent être présentés par des partis politiques ayant des élus ou recueillir trois cents (300) signatures d’élus à travers les dix (10) régions du Cameroun.
A ce propos, l’ancien inspecteur de l’administration préfectorale de la région de l’extrême-Nord consent
“Je suis conscient des défis qui attendent, notamment celui qui est des conditions à remplir pour la candidature.”
Le président du parti Jouvence qui propose une candidature indépendante pense aussi que sa candidature
“butera certainement sur les écueils savamment pensés par le pouvoir en place. Je pense notamment à l’obtention des 300 signatures ou parrainages.”